Je devrais dire que je n'aurais pas osé franchir sans l'insistance de ce cher Bill. Je ne regrette pas cette décision parce que je ne connais pas encore beaucoup de mes amis qui ont foulé le tapis vert de Saint-Andrews où les allées ressemblent davantage à des verts. Je n'insisterai pas sur l'état des verts sur lesquels j'aurais certes pique-niqué.
Le long du 18e, ce que la télé ne nous montre pas parce que la foule cache les façades, c'est l'enfilade de boutiques de golf qui bordent le terrain. À regarder seulement parce que les prix défient toute logique.
Autre déception, l'allée du trou no 1 et celle du 18e trou ne forment qu'une immense terrasse sans grands obstacles. Même moi j'aurais pu m'élencer sans perdre ma balle mais en criant plusieurs fore pour prévenir les audacieux qui se seraient aventuré sur l'allée voisine.
Voilà donc pour ce qui est du premier temple... Celui de la richesse moderne où le Club House n'accueille que le gratin du gratin...
1 commentaire:
Dis-toi bien mon cher ami qu'un jour nous irons labourer le sol du Saint-Andrews à coup de fers et de bois.
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