...heureusement le poids de ma faute ne m'a pas valu l'expulsion du Shakespeare parce que j'ai mangé tous les pois verts dont le cuisinier avait si généreusement garni mon assiette.
Le pois vert, du moins dans les expériences culinaires vécus autant en Angleterre qu'en Écosse au cours des deux dernières semaines, occupe une place de choix dans le coeur et les papilles des sujets de sa majesté. Quand je dis des pois, oubliez les rachitiques Lesieurs No 2 qui flottent habituellement dans la sauce de nos hot chicken. Je doute d'ailleurs qu'au Québec nous ayons prévu un numéro pour représenter l'illustre spécimen de la famille du Pisum sativum.
C'était la dernière chronique de la bouffe anglaise parce que demain, comme je mangerai dans les aéroports, le menu sera plus international, McDo, Subway et autres.
Copyright Michel Cayer
1 commentaire:
Bon retour mon ami !
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