Sans prétendre maîtriser parfaitement ce véritable labyrinthe sousterrain, je peux maintenant me targuer de pouvoir aller à peu près n'importe où sans me perdre. Difficile de s'égarer de toute façon dans ce dédale de galeries parce que le personnel, d'une politesse toute anglaise même si la plupart proviennent de différentes ethnies, semble connaître le réseau sur le bout de ses doigts. Comme à Montréal ou partout ailleurs au monde, l'important c'est de retenir le nom des dernières stations et les couleurs qui s'y rattachent. Il m'a fallu deux jours pour maîtriser ce concept. Plus lent que ça c'est la lobotomie...
Copyright Michel Cayer
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