Il y avait quelque chose d'angélique dans cette scène où une jeune femme aux allures d'actrice de cinéma charme les passants avec sa musique.
Les choses ne sont pas toujours, sinon jamais ce qu'elles semblent toutefois. Rosita n'a rien d'une déesse romaine malgré son nom. Elle arrive d'Australie, son continent de naissance, pour étudier à l'École nationale de cirque de Montréal dont la réputation s'est rendue jusqu'à elle. L'accordéon et son talent lui servent à défrayer le coût de ses études. Elle ne fera donc plus danser bien longtemps les passants du Vieux-Montréal, mais continuera sans doute d'attirer un jour les foules sous un chapiteau.
Merci de respecter les droits d'auteur
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire