Santiago n'affiche pas la frénésie habituelle des grandes villes. Dans les rues pourtant bondées, pas de course effrénée. Un calme règne dans les premiers jours jusqu'à une grande manifestation contre les frais de scolarité. Du déjà vu pour nous Québécois. La manifestation à peine terminée, des équipes de nettoyage armées de brosses et de branches de palmier ramassent ce qui reste de l'événement . Ici, pas de balais mécaniques.
Copyright Michel Cayer
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire