Le merveilleux avec les Francofolies c'est qu'il suffit de marcher sur quelques centaines de mètres pour se dépayser complètement. De l'Italie je suis passé à la musique congolaise de NGâbo. Une musique qui impose au corps une danse qu'il n'avait pas prévue parce que l'envoûtement est plus fort que nous.
Copyright Michel Cayer
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