Les rues de Montréal étaient bordéliques au lendemain de la tempête du 8 mars. À voir les gens se parler et blaguer en déneigeant entrées et voitures, il faut admettre que le chaos semble exercer un indéniable effet rassembleur.
Copyright Michel Cayer
1 commentaire:
J'ai toujours adoré les tempêtes de neiges... dans le fond c'était sûrement due au fait, amical et l'entraide entre des personnes qui jamais ne se seraient côtoyées en d'autre situation de la vie courante.
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